Tous moteur !

Tant que la route est plate ou à peu près, tout se passe normalement.

En revanche, dès que vous attaquez les premières pentes, sous les yeux de la petite famille manifestant une impatience teintée d’une légère inquiétude, vous sentez le manque d’adhérence. Vos deux roues motrices ne suffisent plus à contrôler le véhicule. Pire, le patinage s’en mêle, l’embrayage est trop sollicité, le moteur chauffe ; en un mot, vous vous dites que cette voiture n’est pas faite pour rouler sous la neige. De plus, votre aura en prend un coup, le premier jour des vacances.

Il est peut être temps de passer à quatre roues motrices.

À bien des égards, une entreprise se comporte souvent de la même manière. En regardant bien, on se rend compte que les « roues motrices » ne sont pas si nombreuses. En effet, ceux qui osent proposer, contredire (de manière constructive), ceux qui ont le courage de défendre une idée qui les rendra impopulaires, ceux qui font preuve de créativité, tous ces personnages ne sont finalement pas si nombreux.

Regardez autour de vous !

Vous y verrez ceux qui, sans consigne, attendent, ceux qui font courir sous le manteau « qu’il vaut mieux ne pas trop la ramener », ceux qui mettent l’ambiance, remuent beaucoup d’air mais prennent garde d’éviter le front des discussions âpres quand elles se présentent. Des noms vous viennent certainement à l’esprit en lisant ces lignes.

Ce n’est pas grave !

Ce n’est pas si grave, direz-vous, juste une réalité classique de « l’humain manager ». Pas si grave, sauf qu’à l’instar de notre famille partant à la neige, il vaut mieux que la météo soit clémente. Il est alors préférable que la conjoncture reste à peu près stable, que la législation nous laisse un peu souffler, que le dialogue social soit paisible, que l’appareil de production soit opérationnel pour les vingt ans à venir, que les brevets soient défendus, que le système informatique soit prêt à affronter les défis des prochaines années, que les actionnaires fassent bloc avec bienveillance derrière la Direction Générale de l’entreprise. Pas si grave en effet.

Sauf que la réalité n’est pas toujours au rendez-vous de ce tableau idyllique.

C’est lorsque les éléments se déchaînent que l’entreprise a besoin de toutes ses forces, de tous ses talents au risque de ne pas aller assez vite dans ses projets, de passer à côté d’opportunités commerciales, de manquer de réactivité face à une situation de crise, de ne pas être « on time » pour anticiper une législation.

La mobilisation de tous est alors la condition nécessaire pour s’en sortir.

Quel est le mode opératoire ?

D’abord se poser la question : suis-je concerné ? À ce stade de votre lecture, vous devez déjà avoir une opinion à ce sujet.

Les symptômes existent : des projets qui traînent en longueur, un taux d’AT qui augmente, un dialogue manager-collaborateur médiocre, des services qui ne travaillent pas ensemble, un CODIR qui se détache du terrain, le sentiment pour un grand nombre de ne plus pouvoir agir sur leur travail, une liberté de parole qui n’est plus qu’un souvenir évoqué avec nostalgie, un repli de certains managers vers le système de la féodalité avec ses petits chefs, légitimes ou pas, un manque général d’enthousiasme… Arrêtons là cette liste pour préserver notre moral !

Vous devez décider, vous pouvez agir.

Il existe des facteurs clés de succès :

  • La/le DG va s’impliquer et en premier !
  • La notion de responsabilité va reprendre tout son sens, adossée au vieil adage qu’elle ne se partage pas.
  • Les managers se croyant intouchables derrière le titre de leur fonction ne le seront plus.

Ce type de projet, véritable décision de la Direction Générale mérite d’être accompagné afin de faire en sorte qu’un contrat de responsabilité partagée garantisse pour l’avenir que (presque) toutes les roues de l’entreprise soient motrices.

Tant que la route est plate ou à peu près, tout se passe normalement. 
En revanche, dès que vous attaquez les premières pentes, sous les yeux de la petite famille manifestant une impatience teintée d’une légère inquiétude, vous sentez le manque d’adhérence. Vos deux roues motrices ne suffisent plus à contrôler le véhicule. Pire, le patinage s’en mêle, l’embrayage est trop sollicité, le moteur chauffe ; en un mot, vous vous dites que cette voiture n’est pas faite pour rouler sous la neige. De plus, votre aura en prend un coup, le premier jour des vacances. 
Il est peut être temps de passer à quatre roues motrices.
 A bien des égards, une entreprise se comporte souvent de la même manière.
En regardant bien, on se rend compte que les « roues motrices » ne sont pas si nombreuses. En effet, ceux qui osent proposer, contredire (de manière constructive), ceux qui ont le courage de défendre une idée qui les rendra impopulaires, ceux qui font preuve de créativité, tous ces personnages ne sont finalement pas si nombreux.
Regardez autour de vous !
Vous y verrez ceux qui, sans consigne, attendent, ceux qui font courir sous le manteau « qu’il vaut mieux ne pas trop la ramener », ceux qui mettent l’ambiance, remuent beaucoup d’air mais prennent garde d’éviter le front des discussions âpres quand elles se présentent. Des noms vous viennent certainement à l’esprit en lisant ces lignes.
Ce n’est pas grave !
Ce n’est pas si grave, direz-vous, juste une réalité classique de « l’humain manager ». Pas si grave, sauf qu’à l’instar de notre famille partant à la neige, il vaut mieux que la météo soit clémente.
Il est alors préférable que la conjoncture reste à peu près stable, que la législation nous laisse un peu souffler, que le dialogue social soit paisible, que l’appareil de production soit opérationnel pour les vingt ans à venir, que les brevets soient défendus, que le système informatique soit prêt à affronter les défis des prochaines années, que les actionnaires fassent bloc avec bienveillance derrière la Direction Générale de l’entreprise. Pas si grave en effet.
Sauf que la réalité n’est pas toujours au rendez-vous de ce tableau idyllique.
C’est lorsque les éléments se déchaînent que l’entreprise a besoin de toutes ses forces, de tous ses talents au risque de ne pas allez assez vite dans ses projets, de passer à côté d’opportunités commerciales, de manquer de réactivité face à une situation de crise, de ne pas être « on time » pour anticiper une législation.
La mobilisation de tous est alors la condition nécessaire pour s’en sortir.
Quel est le mode opératoire ?
D’abord se poser la question : suis-je concerné ? A ce stade de votre lecture, vous devez déjà avoir une opinion à ce sujet.
Les symptômes existent : des projets qui traînent en longueur, un taux d’AT qui augmente, un dialogue manager-collaborateur médiocre, des services qui ne travaillent pas ensemble, un CODIR qui se détache du terrain, le sentiment pour un grand nombre de ne plus pouvoir agir sur leur travail, une liberté de parole qui n’est plus qu’un souvenir évoqué avec nostalgie, un repli de certains managers vers le système de la féodalité avec ses petits chefs, légitimes ou pas, un manque général d’enthousiasme… Arrêtons là cette liste pour préserver notre moral !
Vous devez décider, vous pouvez agir.
Il existe des facteurs clés de succès :
  • La/le DG va s’impliquer et en premier !
  • La notion de responsabilité va reprendre tout son sens, adossée au vieil adage qu’elle ne se partage pas.
  • Les managers se croyant intouchables derrière le titre de leur fonction ne le seront plus.
Ce type de projet, véritable décision de la Direction Générale mérite d’être accompagné afin de faire en sorte qu’un contrat de responsabilité partagée garantisse pour l’avenir que (presque) toutes les roues de l’entreprise soient motrices.

Vous souhaitez un accompagnement personnalisé ? Découvrez notre solution qui, au-delà d’une méthode, remet à l’honneur les valeurs humaines fondamentales qui ont toujours fait le succès des grandes entreprises : le courage, l’audace, la persévérance, la bienveillance et la rigueur.

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